Pour la majorité, avoir un enfant est devenu le but de toute une vie. Mais il faut remarquer que si mettre au monde un bébé est délicat, sa viabilité et sa motricité peuvent dans certains cas subir un handicap. En ce qui concerne l’organe de l’ouïe, pour les bébés, le risque est minime, mais il existe bel et bien. C’est la raison pour laquelle, il est impératif de détecter toutes les anomalies concernant les oreilles du bébé. À travers cet article, découvrez l’âge idéal pour déceler les problèmes d’audition d’un enfant.
Le faire prématurément
Selon les spécialistes, les parents sont en mesure d’ordonner une vérification de l’organe de l’ouïe de leurs progénitures, dès leur plus jeune âge. À noter que l’enfant possède des facultés auditives même dans le ventre de sa mère, ou au stade de fœtus. Pourtant, une vérification en bonne et due forme ne peut être effectuée qu’une fois à l’extérieur. Par conséquent, entre zéro et trois mois, le bébé pourra déjà faire l’objet d’un test de dépistage de la surdité infantile. Mais par faute de matériel et de techniciens, ce test n’est pas encore accessible dans tous les centres hospitaliers.
Les différentes manières de tester l’audition
Afin d’éviter toute ambiguïté, la meilleure solution est de prendre rendez-vous chez un audiologiste. Mais en attendant cette date, les parents peuvent tester la réception auditive de leur enfant. Pour ce faire, il suffit pour ces derniers d’utiliser les gestes de tous les jours. En fait, il suffit de lui faire écouter les bruits de ses jouets ou encore d’un sèche-cheveux. Selon sa tranche d’âge, le bébé réagit différemment à chaque catégorie de bruit. En dessous d’un an, le bébé se contente de réagir avec des gestes très limités comme tourner la tête ou babiller et en modifiant son expression faciale.
Le déroulement du test
Pour la plupart des pays, le test de dépistage est appuyé par le gouvernement, et il comporte trois étapes indispensables. Effectivement, un premier test est appliqué dans l’enceinte de l’hôpital dans le but d’opérer un diagnostic sur la surdité éventuelle de l’enfant. En cas de défaillance de ce premier test, les parents ont la possibilité de procéder à un deuxième test. Ici, l’idée est de faire un test en externe après quelques semaines de la sortie de l’hôpital. Finalement, au cas où ces deux tests demeurent infructueux, les parents sont redirigés vers un spécialiste pour un test complet plus performant.